" Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres. " Antonio Gramsci

" Mummy, j'ai fait un gros pet. Je crois que Archibald est entrain de maudire mon princier séant. Ha, ha ha !! "

" Charles, moi aussi, et encore plus gros que le tien. Mais Edward et Nigel, eux, restent de marbre. Pas comme cet Archibald. ! "

La disparition de sa gracieuse Majesté Elizabeth Alexandra Mary Windsor, Reine du Royaume-Uni, d’Irlande du Nord, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, de la Jamaïque, de la Barbade, des Bahamas, de la Grenade, de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, des Îles Salomon, de Tuvalu, de Sainte-Lucie, de Saint-Vincent-et-Grenadines, d’Antiga-et-Barbuda, du Belize, de Saint-Christophe-et-Néviès ; Seigneur de Man ; Chef du Commonwealth des Nations, Chef Suprême des Îles Fidji ; et « Duc * » de Normandie et des Îles Anglo-Normandes, (oui, on dit duc et non point duchesse, n'en déplaise à ces cuistres de journaleux parisiens incultes !), laisse un trou béant dans le monde, un manque dans l'Histoire.

Que les malotrus, les calembourdeux, les esprits mal placés, nous épargnent leurs jeux de mots (laids) les plus déplacés qu'ils soient !

Oui, oui. On vous entend d'ici : " la mort du duc laisse un trou, un trou...duc.

Non mais quoi ! Quel authentique crime de lèse-majesté ! Honte à vous !

Bon, d'accord. Il en est un chez nous (si on peut encore appeler ça "chez nous") qui aime bien les trouducs. Ou plutôt, il aime bien qu'on aime bien son trouduc.

Genre le Macron, où rien n'est bon... sauf son trouduc. Voire.

Branle-bas de combat au Quai d'Orsay !

La Chancellerie craint que le Macron, où rien n'est bon, ne confonde la Reine - le dernier symbole de l'ancien monde disparu depuis déjà un bail - avec celles qu'il a coutume de fricoter et par qui il se fait tripoter le trouduc : les drag queens.

Shocking notre billet ?

Bôf...

Lazare Garcin

* Elizabeth était en réalité « Duc de Normandie », au masculin. Une règle grammaticale qui s’applique en Anglais comme en Français. En effet, elle était surnommée « Duke of Normandy » et non pas « Duchess ».

L’explication est simple. Dans la hiérarchie des appellations royales « Duke », « Duc » est plus fort que « Duchess » et rien ne peut être plus fort qu’un monarque, donc il ou elle, peu importe le sexe, doit demeurer le plus fort, d’où cette appellation qui reste masculine.

Et si elle était « Duke of Normandy », elle était en revanche « Duchess of Edimbourgh », pourquoi eh bien parce qu’elle était l’épouse du Duc, le Prince Philipp qui est décédé l’an dernier.

L’étrange genre de ce titre de « Duc de Normandie » pour une femme, en tout cas cessera avec Charles III. La royauté redevient masculine.

(Source : France 3 à qui l'on a corrigé les fautes d'orthographe. Lamentable de la part du service public !)

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PS : Or, donc, duc, plutôt que duchesse, et pan dans la gueule à Sandrine Rousseau, la folle hystérique et haineuse, anti-mâles, et accessoirement anti-Blancs !

LG

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